Dans la nuit calme
Qu’ éclairent les flammes
Des oliviers crament
Le cri déchirant
Du pauvre paysan
Impuissant, bras ballant
Des soldats en arme
Regardent le drame
Sans une larme
Les yeux des enfants
Farouches, méchants
Ne sont plus innocents
Leur avenir est une flamme
De l’olivier qui crame
Et damne leurs âmes
Tout ne peut plus être que violence
Pour répondre à l’incohérence
De cette incandescence
Dans la nuit déchirée
Des oliviers incendiés
Palestine occupée
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